Donald Trump a remporté la présidence grâce à sa résilience face aux multiples défis et attaques. Accusé d’insurrection, banni de Twitter, inculpé au pénal, poursuivi au civil, victime de deux tentatives d’assassinat,  il a tenu la distance, malgré tout, retournant les attaques, souriant en faisant des frites, paradant dans son gilet d’éboueur. Ajoutant à sa base MAGA, tous ceux qui se sont identifiés à ses combats. Kamala Harris, perçue comme moins robuste, et qui jouait la remplaçante au pied levé dans une campagne qui n’était pas taillée pour elle, n'a pas su convaincre. 
Mais la victoire de Trump s'appuie sur une Alliance rebelle avec des figures comme Elon Musk et Vivek Ramaswamy, Robert F.Kennedy Jr. et Nicole Shanahan, J.D.Vance et Tulsi Gabbard, qui ont apporté soutien et visibilité. Cette Alliance a entraîné dans son sillage la finance et la tech, les Amish, les victimes de l’ouragan Helene et les fans de l’écureuil P’nut et de son copain Fred le raton-laveur assassinés,  tous victimes d’une bureaucratie orwellienne. Elle a surtout conquis ceux qui ne voulaient plus du wokisme, des politiques DEI et qui voulaient faire passer l’économie intérieure avant les guerres extérieures. 
Aujourd'hui, nombreux sont ceux qui cherchent à se rapprocher de Trump, voyant en lui l’homme le plus puissant du monde. Avec son accession au pouvoir, nous entrons dans une nouvelle ère, celle des expansionnistes, où l'ambition et le pragmatisme remplacent la prudence et la régulation des extinctionnistes. Le retour du rêve américain.